De retour sur le continent avec le bruit, le monde, le trafic, la pollution... mais grosse consolation pour Irène, nous allons cueillir Amélie (sa fille) et Baptiste (son copain) à l'aéroport pour passer une petite semaine tous ensemble (sauf la nuit, où les jeunes iront dans des 4 étoiles 😉)

Contrairement au reste du voyage, presque tout est programmé pour ne pas perdre de temps, mais nous aurons quand même un imprévu dès le second jour. On attaque par la visite d'Athènes, et bien évidemment l'incontournable Acropole. Elle est là haut, sur son rocher, belle de jour comme de nuit ; mais voilà nous sommes le 2 mai, et le 2 mai en Grèce, tout est fermé. Alors nous voilà partis à faire un truc auquel je n'aurais jamais pensé tout seul... je nommerai le bus décapotable à touristes. Je râle un peu, mais ma foi, un mélange de bus et de marche dans les rues athéniennes par un temps gris et pluvieux, pourquoi pas.

En fait, la ville en elle même est assez moche (à mon goût ) alors on ne va pas s'éterniser.

Le tour continue par un petit séjour de 36 heures sur l'île d'Egine. Lieu de villégiature des athéniens. Cette petite ile, à 1,5 heure de bateau du Pirée est la capitale de la pistache et a su conserver toute son authenticité et son calme, avec ses côtes découpées et ses monastères perchés dans les collines.

Pour en faire le tour, 2 scooters en loc, et c'est parti. Oups, problème de longueur de jambes pour Amélie.... elle ne touche pas terre, alors changement de chauffeur, c'est Baptiste sans permis qui prend les commandes. Ça va mieux !

Un peu de plage, baignade, resto au bord de l'eau, visite de 2 monastères, dîner a l'hôtel, la journée est bien remplie.

De retour à la capitale, j'embarque tout le monde dans le camion pour descendre au cap Sounion. Ce seront les deux derniers jours de cette semaine grecque pour Amélie et Baptiste.

A l'extrémité du cap, se dresse le temple de Poséidon, visible de très loin. Il domine toutes ces terres, et au bord d'une grande falaise surplombant la mer.

Nous passerons deux journées cool dans cette crique où quelques voiliers et yachts viennent mouiller sur une eau parfaitement plate.

Un peu en manque d'exercice, je propose à Irène une petite matinée kayak, histoire de faire le tour des iles avoisinantes et avoir un nouvel angle de vue sur le temple.

Et voilà, les courtes vacances des jeunes travailleurs s'achèvent et nous les ramenons a l'aéroport pendant que nous préparons notre remontée vers le nord du pays.